L’arrêté du 4 juin 2014 prévoit que l’analyse de risque repose sur l’utilisation d’un outil d’aide à la décision d’emploi de la bromadiolone. L’évaluation de ce risque doit s’appuyer sur différentes variables et notamment sur des variables « faune non cible » qui englobent la faune non patrimoniale et la faune patrimoniale.
Voici pour exemple l’outil développé en Franche-Comté (avec l’aléa faune patrimoniale).
Une publication portant sur l’évolution des effets non intentionnels de la lutte chimique contre le campagnol terrestre sur la faune sauvage et domestique a d’ailleurs été publiée en 2014. [Coeurdassier M., Berny P., Couval G., Decors A., Jacquot M., Queffélec S., Quintaine T., Giraudoux P. (2014) : « Evolution des effets non intentionnels de la lutte chimique contre le campagnol terrestre sur la faune sauvage et domestique », Fourrages, 220, 327-335]. L’article est disponible auprès de la Mission rapaces.
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